Il s’agit du dernier acte de la tétralogie du Monstre qu’Enki Bilal avait commencé, il y a presque 10 ans. Hier soir, profitant d’une soirée entre mec (virée entre filles pour ma dulcinée) qui se résume entre couches et biberons 🙂
Je me suis attelé à la lecture de ce quatrième tome (comme il y a presque un an à celui du troisième) où Optus Warhole, le grand méchant, a décidé de virer sa veste en décidant non plus d’incarner le mal suprême mais le bien suprême. Nike à qui Optus est scotché se verra retrouver ainsi sa liberté (Leyla lui rendra aussi sa liberté sentimentale). Leyla, toujours autant astrophysicienne, verra son clone atterrir sur la planète rouge grâce aux mouches de Warhole (et forniquer avec le double de Nike). Quant à Amir à sa carrière de gardien pro, il va préférer être le gardien de son âme-sœur Sacha. En trente minutes de lecture, on n’est pas déçu du destin de ces Trois orphelins de Sarajevo, Bilal n’a pas perdu son coup de crayon magique. Cet homme aime les femmes, il les dessine magnifiquement. Même si le scénario n’est pas aussi bouleversant que dans les autres tomes. On se plait à se dire que les trois protagonistes se donnent rendez-vous dans un lieu qui s’imposera de lui-même. Seront-ils cette fois-ci (avec Sacha) Quatre ?
Image issue du site officiel d’Enki Bilal
Ps : On ne peut pas donc dire la suite au prochain épisode 🙂
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