Hier soir, j’étais devant M6 et Zone Interdite qui était consacré aux problèmes récurrents de logement.
Le picth trouvé sur TeleObs :
« Au sommaire : «Marion» : Marion, étudiante brillante, travaille comme réceptionniste dans un hôtel. Malgré le soutien de sa mère, elle vit dans un squat. – «Paul» : A 22 ans, Paul a quitté sa Bretagne natale. Malgré sa paie de 1250 euros par mois, il n’arrive pas à louer un appartement. – «Maître Lydie Lebas».
Au sommaire :
A 19 ans, Marion est une étudiante brillante qui a obtenu son bac avec mention. Pour poursuivre ses études de mathématiques à Paris, elle travaille comme réceptionniste dans un hôtel. Malgré le soutien de sa mère, Marion vit dans un squat.
A 22 ans, Paul a quitté sa Bretagne natale pour la région lyonnaise où il a trouvé un emploi d’intérimaire. Malgré sa paie de 1250 euros par mois, il n’arrive pas à louer un appartement. Alors, il vit dans son camion. »
Rien que ce petit résumé doit vous faire comprendre combien, il est difficile pour un jeune notamment de se loger tant à Paris qu’à Lyon et pour tant d’autres également.
Ce qui est inadmissible, c’est quand on apprend qu’il y a plusieurs milliers de logements inoccpués depuis parfois des décennies appartenant à des banques, des assurances ou d’autres grandes institutions. Le pire, c’est quand certains collectifs squattent ce genre de biens, ils sont expulsés « Manu Militari » par des des « gendarmes robocop ».
Il y a pourtant une solution taxer tous ces logements inoccupés sans raison et il y a un moyens simpl par exemple :
– faire payer le triple ou le quadruple au minimum la taxe foncière (impôt sur la propriété immobilière) à toutes ces institutions qui ont des flottes d’appartements inoccupés et qui ne peuvent prouver qu’ils sont occupés.
Dans cet exemple, je n’inclus les propriétaires de bonne foi qui n’arrivent pas à louer leur logement.
Remettre tous ces appartements inocuppés sur le marché permettrait peut-être de faire baisser un petit peu la bulle immobilière dans laquelle nous nous trouvons notamment au niveau des loyers dans les grandes villes notamment.
Ne pas arriver à se loger avec 1250 euros ou même moins est inadmissible. Le droit au logement est un droit inaliénable comme l’est le droit à l’éducation ou à la santé…
Vous ne croyez pas?
Image issue du blog Vienne en Lutte
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